Les mots me manquent pour qualifier ce voyage. Je suis dans l’avion qui nous ramène vers Paris et je suis presque dans le même état qu’à l’aller : « Je n’y crois toujours pas ».
Quatre d’entres-nous n’avions jamais entrepris un tel voyage. Nous en avions discuté avant d’y être « réellement ». Ce que nous allions tenter de faire nous paraissait démesuré. Marc-Olivier étant tellement confiant, nous nous étions laissés entraîner par ce rêve de pilotaillon qui nous semblait totalement irréalisable. A la rigueur faire quelques tours de pistes et un local après s’être fait briefer par un instructeur local, OK et encore... Mais partir pour plus de 25 branches et plus de 4500 nm pendant 12 jours en changeant d’hôtel tous les jours. No way !
Marc-Olivier nous avait préparé des destinations incroyables. Il semblait avoir pioché dans un album de cartes postales. Ce que nous avons vécu y a terriblement ressemblé.
Chaque jour a pratiquement surpassé le jour précédent. A plusieurs reprises, nous sommes descendu de l’avion, en sueur, un grand sourire aux lèvres, nous dirigeant vers Marc-Olivier en disant « Mais c’est encore plus génial qu’hier !!! ». Chaque approche, chaque recherche de terrain, chaque regard panoramique, chaque finale avec le magique « Cessna, Seven-Five-Foxtrot, number 3 runway 21, clear to land » nous a donné des frissons. Il n’y a rien de comparable dans ma modeste carrière de pilotaillon qui approche la somme des surprise rencontrées.
Quatre d’entres-nous n’avions jamais entrepris un tel voyage. Nous en avions discuté avant d’y être « réellement ». Ce que nous allions tenter de faire nous paraissait démesuré. Marc-Olivier étant tellement confiant, nous nous étions laissés entraîner par ce rêve de pilotaillon qui nous semblait totalement irréalisable. A la rigueur faire quelques tours de pistes et un local après s’être fait briefer par un instructeur local, OK et encore... Mais partir pour plus de 25 branches et plus de 4500 nm pendant 12 jours en changeant d’hôtel tous les jours. No way !
Marc-Olivier nous avait préparé des destinations incroyables. Il semblait avoir pioché dans un album de cartes postales. Ce que nous avons vécu y a terriblement ressemblé.
Chaque jour a pratiquement surpassé le jour précédent. A plusieurs reprises, nous sommes descendu de l’avion, en sueur, un grand sourire aux lèvres, nous dirigeant vers Marc-Olivier en disant « Mais c’est encore plus génial qu’hier !!! ». Chaque approche, chaque recherche de terrain, chaque regard panoramique, chaque finale avec le magique « Cessna, Seven-Five-Foxtrot, number 3 runway 21, clear to land » nous a donné des frissons. Il n’y a rien de comparable dans ma modeste carrière de pilotaillon qui approche la somme des surprise rencontrées.
Merci Marc-Olivier de m’avoir montré tous ces paysages. Merci de m’avoir appris à décortiquer les Sectional, AFD, CFS et autres TAC. Merci de m’avoir mâché le travail avec les NOTAM, les TFR par ci par là et le bilan météo tous les matins. Merci d’avoir eût suffisamment de patience pour accompagner les pas hésitants et tremblants d’un pilotaillon dans les espaces surchargés de Los Angeles, Las Vegas, Portland ou San Francisco.
Merci Marc-Olivier d’avoir organisé ce voyage et de m’avoir laissé t’accompagner.
Merci Marc-Olivier d’avoir organisé ce voyage et de m’avoir laissé t’accompagner.
Je ne peux que me répèter en te disant une nouvelle fois bravo et merci de nous avoir fait partgare ce rêve.
RépondreSupprimerAmitiés
Thierry
Pareil que Thierry et j'ajoute "qu'est ce qu'il va nous sortir la prochaine fois....la barre était déjà haute !"
RépondreSupprimerEn tout cas c'est le genre de récit qui donne vraiment envie d'avancer dans sa formation, en toute modestie.
Oui, merci ! Mille fois merci Marc-Olivier !
RépondreSupprimerPour moi c'est le genre de récit qui me donne une furieuse envie de me remettre à l'anglais (même s'il y a énorme boulot...)
RépondreSupprimeriuaztyzab
De rien, merci a vous aussi de m'avoir fait confiance, ce fut un voyage exceptionnel
RépondreSupprimerMarc-Oliuvier