4.8.14

Air Chat d'août 2014

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A l'occasion d'un week-end à Oléron, le chat familiale Frisco était de la partie. Ce n'est pas la première fois pour lui. Je crois même qu'il ne vole qu'en Cessna 172 G1000, môôôôsieur.

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Arrivée à Oléron


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Elle attend que "ça passe" sans rien dire.

22.7.14

Panne moteur en Cessna, en vent traversier, filmé et commenté de l'intérieur

La première fois que j'ai visionné cette vidéo, j'étais complètement stressé durant la montée initiale, puis le 1er virage attendant la panne moteur décrite/autocritiquée durant le début de la vidéo. Puis, je crois que j'ai retenu mon souffle tout au long de la (courte) descente.

Grâce à mes FI, comme tous les pilotaillons, je m'entraine pour m'en sortir aussi bien que lui. Châpeau, car connaissant un peu le coin (Concord KCCR au nord de San Francisco) et le genre de machine (C172) je ne suis pas du tout convaincu que j'aurais fait aussi bien ! D'autant que le pilote en est à son 3ième solo !

16.7.14

Garmin VIRB fixée... sur un vélo

Une fois n'est pas coûtume, il ne s'agit pas d'une vidéo d'avion. C'était en mai dernier, à l'occasion d'une promenade en vélo à San Francisco. J'ai fixé la Garmin VIRB sur le guidon de mon vélo pour la traditionnelle traversée du Golden Gate jusqu'à Sausalito.

9.7.14

Après tout, cela est bien normal (LAX en VFR)

20140705_161120_Richtone(HDR) (1)Je partage avec vous cette petite surprise en lisant un des éditos dans le dernier AOPA magazine (Juillet 2014). C'est l'histoire d'un pilote VFR avec 300 heures au compteur qui juge sa phraséo... perfectible. Il est basé à Santa Paula (KSZP), un petit terrain sans contrôle, 40 nm vers l'ouest de Los Angeles à mi-chemin entre LAX et Santa Barbara. Et ce monsieur n'a rien trouvé de mieux pour améliorer sa phraséo que d'aller à Los Angeles International en VFR. Bien sûr, il ne fait pas ça tout seul, puisqu'il se fait encadrer par un instructeur... et pas n'importe lequel : Barry Schiff.

Mais là, n'est pas le plus surprenant. Car on pourrait se dire qu'il y a maintes et maintes paperasseries/tracasseries pour aller en VFR, en Cessna sur l'aéroport international de Los Angeles et que le sujet de l'édito serait justement toutes les trajectoires, plans de vol, autorisation, dérogation et tout plein d'autres trucs bizarres à gérer.

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Et bien non ! La plus grande partie de cet édito (la colonne de droite) décrit tout le roulage, l'attention à avoir aux Jetblast ou bien encore la lecture des panneaux de signalisation au sol... chose que notre ami pilote VFR pratique peu sur son terrain de Santa Paula.

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Verticale LAX en VFR. Normal.

La partie qu'on s'attendait à voir détailler se résume à ce texte :

We were given a few simple clearance, a few vectors, and thankfully no holding before receiving permission to enter classe Bravo. Approaching the airport from the northeast, we were handed over the tower and cleared to land on runway 24R following a Boeing 737 on final.

Ils s'estiment heureux de ne pas avoir eut d'attente. Nous, de ce côté-ci de l'Atlantique, on les estime heureux - tout court - d'avoir pu aller à LAX en VFR !

Bien sûr, il grognent un peu (humourrrrrr) parce qu'ils se sont posés en 24R et que leur FBO Atlantic est à l'autre bout ;-) Bon, vu le prix du ramp fee de $100, on est pas à 20 minutes de roulage près ;-)

Vous imaginez un pilote de Dreux (à l'ouest de Paris) se dire : "Tiens, pour aller travailler ma phraséo, je vais aller à CDG. Bien sûr, j'irais avec un instructeur" ;-)

Là-bas, ils sont d'autres problèmes à gérer :

The story of Jon's adventure apparently has spread. Other pilots have called me about making the flight. I just hope that the patient controllers at Los Angeles will continue to endure these training trips.

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