De passage à Hamburg, je n’ai pu m’empêcher de faire un saut express au Minuatur Wunderland. Le clou de cette exposition est indéniablement l’aéroport. C’est lui qui dispose le plus d’animations. Non seulement des avions, mais aussi de nombreux véhicules. Les effets lumineux sont aussi très poussés, avec le passage jour-nuit comme sur l’ensemble de l’exposition. Les autres plateaux sont surtout animés par des trains.
On ne l’entend pas mais l’ambiance sonore est aussi reproduite de manière localisée. On distingue d’où vient le bruit. Ici, un 747 patiente et le bruit de l’Aribus 340 qui va toucher est tout à fait distinguable.
Tout au fond, près des écran, il y a un petit hangar avec un Cessna
Il n’y a pas que les animations des atterrissages – roulages – parking – pushback – roulage – décollage… Ici, un 747 est tracté en dehors de son hangar (OK, le bruit semble indiqué que c’est au moteur ;-).
On distingue la zone des exercices de pompier que je n’ai pas eu le temps de voir. Il y a aussi une navette spatiale qui attend de rentrer au hangar. J’ai vu aussi un passage bas d’un bourdon sur la piste en service.
Et il y a forcément des trains…
L’ambiance de nuit est exceptionnelle. On voit au premier plan un camion se déplacer sur les routes de service.
Il y a la queue au point d’arrêt. Un appareil a eu un soucis pour dégager. Il a fallu l’intervention d’un technicien qui a tripoté l’avion, puis la reposé… et il a continué sa vie ;-) Les autres, pendant ce temps, patientait sagement.
Le centre de contrôle de toute l’attraction.
Malheureusement ou heureusement, il n’y a pas que le plateau de l’aéroport. Il faut bien plus d’une petite heure pour s’attarder sur les autres zones (US, Suisse, Scandinavie…)
La Scandinavie avec l’animation du cycle des marées
La zone Suisse à découvrir sur plusieurs niveau. Mais je ne m’y suis pas attardée. Forcément, j’ai filé vers l’aéroport ;-)
Les Etats-Unis avec un bout de Vegas
et le… pas de tir de la navette spatiale
Tout est dans le détail. Il ne suffit pas de regarder le plateau de haut. il faut se pencher pour capter toutes les petites histoires qui y sont racontées.