Quelques photos souvenirs du Robin DR-221 F-BOZP, avec lequel j'ai fait beaucoup d'heures d'instructions et par la suite de vol "plaisir", disparu dans un incendie.
30.9.05
25.9.05
Slalom géant avec des portes jaunes (épisode 43)
Heureusement qu'il devait pleuvoir tout l'après-midi. Merci Météo France. Je n'avais donc rien prévu. Pas d'avion de réservé. Lorsque j'ai vu que les nuages étaient hauts et qu'il n'y avait pas une goutte de pluie à l'horizon (merci les METAR), je me suis réveillé et je n'ai trouvé dans le planning des avions "que" le KU de disponible. Heureusement, Patrick étaient dans le même état que moi. Alors nous sommes allés faire du slalom.
Un petit tour en DR400-120. Pas trop loin. Pas trop vite. Et à 1500 ft QNH.
Etant donnée la proximité des TMA, l'imprécisions du VOR de Creil,
nous n'avions pas trop de deux cartes, deux GPS et deux paires d'yeux.
Après avoir exploré le sud et l'ouest dans le mode "où pourrions-nous faire un ch'tit vol", Patrick et moi avons porté notre dévolu sur... Le Plessis. Nous avions eut, lors de notre instruction, le loisir de faire un tour de Paris (voir le récit "Tout seul j'y serais jamais allé") et je me souviens avoir fait une verticale de ce terrain niché dans le coin en haut à droite de la TMA. Mais je ne m'y étais jamais posé. Patrick en était parti avec un copain.
Le Plessis était donc une bonne destination. Environ une quarantaire de minutes en KU. En partant vers 17h30, c'était largement jouable de revenir avant la nuit. Nous pouvions nous partager le vol en cet fin de dimanche. Nous poser là-bas, changer de pilote et rentrer. Vite fait, bien fait.
Sur la capture précédente, on peut suivre en rouge la trace GPS de notre parcours. Comme on peut le voir, nous nous attachons à ne pas survoler les petits patelins en jaune sur la carte. Cela donne donc une trajectoire peu rectiligne. C'est le moins qu'on puisse dire. Un coup à gauche, un coup à droite.
- "Tu as des maisons en dessous... de ton côté ?"
- "Nan, ca va, tu peux y aller".
Et hop, un coup à droite. Parfois, on a l'impression de mener un bâteau dans un port. Mais après tout, c'est dimanche et nous ne sommes pas pressés. Ne dit-on pas aussi que l'aviation légère est un moyen rapide de déplacement pour des voyageurs peu pressés ?
Grâce à Google Earth, nous verrons que nous sommes passés à 12 km du seuil de la 27R de LFPG (CDG). A 12 km des pros, des gros qui montent très vite dans le ciel. Nous, avec notre avion en bois et en toile et nos 120ch.
Faire un petit vol en fin de journée c'est aussi voler avec le couché de soleil. En allant vers l'est, j'avais tirée la bonne branche à la courte paille. Le soleil dans le dos, jusqu'à l'atterrissage en 25 au plessis.
Par contre, Patrick faisant le retour a eut droit au projecteur dans la figure sur la majeure partie du tronçon.
Partir en fin de week-end, c'est à dire prévoir un retour 15 minutes avant le couché du soleil, laissait entendre que allions être les derniers à revenir au hangar. Et ça n'a pas manqué. Forcément, nous allions avoir... tous les avions (cinq) à ranger dans le hangar. Forcément.
Un petit tour en DR400-120. Pas trop loin. Pas trop vite. Et à 1500 ft QNH.
Etant donnée la proximité des TMA, l'imprécisions du VOR de Creil,
nous n'avions pas trop de deux cartes, deux GPS et deux paires d'yeux.
Après avoir exploré le sud et l'ouest dans le mode "où pourrions-nous faire un ch'tit vol", Patrick et moi avons porté notre dévolu sur... Le Plessis. Nous avions eut, lors de notre instruction, le loisir de faire un tour de Paris (voir le récit "Tout seul j'y serais jamais allé") et je me souviens avoir fait une verticale de ce terrain niché dans le coin en haut à droite de la TMA. Mais je ne m'y étais jamais posé. Patrick en était parti avec un copain.
Le Plessis était donc une bonne destination. Environ une quarantaire de minutes en KU. En partant vers 17h30, c'était largement jouable de revenir avant la nuit. Nous pouvions nous partager le vol en cet fin de dimanche. Nous poser là-bas, changer de pilote et rentrer. Vite fait, bien fait.
Sur la capture précédente, on peut suivre en rouge la trace GPS de notre parcours. Comme on peut le voir, nous nous attachons à ne pas survoler les petits patelins en jaune sur la carte. Cela donne donc une trajectoire peu rectiligne. C'est le moins qu'on puisse dire. Un coup à gauche, un coup à droite.
- "Tu as des maisons en dessous... de ton côté ?"
- "Nan, ca va, tu peux y aller".
Et hop, un coup à droite. Parfois, on a l'impression de mener un bâteau dans un port. Mais après tout, c'est dimanche et nous ne sommes pas pressés. Ne dit-on pas aussi que l'aviation légère est un moyen rapide de déplacement pour des voyageurs peu pressés ?
Grâce à Google Earth, nous verrons que nous sommes passés à 12 km du seuil de la 27R de LFPG (CDG). A 12 km des pros, des gros qui montent très vite dans le ciel. Nous, avec notre avion en bois et en toile et nos 120ch.
Faire un petit vol en fin de journée c'est aussi voler avec le couché de soleil. En allant vers l'est, j'avais tirée la bonne branche à la courte paille. Le soleil dans le dos, jusqu'à l'atterrissage en 25 au plessis.
Par contre, Patrick faisant le retour a eut droit au projecteur dans la figure sur la majeure partie du tronçon.
Partir en fin de week-end, c'est à dire prévoir un retour 15 minutes avant le couché du soleil, laissait entendre que allions être les derniers à revenir au hangar. Et ça n'a pas manqué. Forcément, nous allions avoir... tous les avions (cinq) à ranger dans le hangar. Forcément.
10.9.05
Verticale du Mont en DR-221 (FS2004)
La scène gratuite du Mont St-Michel pour FS2004 est réalisée par P.Dumat (http://perso.wanadoo.fr/p.dumat). Le Robin DR-221 pour FS2004 est réalisé par Fravin, Frank00, Bee Gee et Miraud (http://www.libertysim.net).
Merci à tous ces auteurs.
9.9.05
Démonstration d'atterrissage polynésienne par Rémi X
Avec FS2004 et FSNet (à plusieurs dans un avion) : tour de piste en Mooney avec une arrivée... euh... Polynésienne ?
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