3.1.11

Ge Flight Simulator v0.4 : la claque !

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Alors là, quelle claque ! Je me demande si on a pas sous les yeux ce que serons nos simulateurs personnels dans quelques années. Quoique ;-) Ge Simulator existe dès maintenant ! Et tout cela au dessus de Google Earth ! Bien sûr, on en est qu’au prémice (v0.4) avec des comportements parfois “erratique”.

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DC3 au dessus de St-Barth

Prenez un navigateur. Installez le plug-in Google Earth. Si vous voulez du son, il vous faut aussi le Flash Player (très classique sur beaucoup de PC). Enfin, si vous avez un joystick une extension pour navigateur existe aussi (cf. la doc, genre RTFM ;-).

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Les avions disponibles… Et oui, il y en a plusieurs ! 

Et c’est tout ! Vous pouvez obtenir ça directement depuis votre navigateur (ici un Google Chrome) :

imageEn plus du DC3, on trouve un Sportstar, un J3 et un AlphaJet

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Il y a même une carte et le relief de Google Earth

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Un mode cockpit virtuel
(je regarde depuis un J3 sur la gauche)

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Arrivée au dessus de San Francisco (Bay Bridge) en DC3

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Grand virage vers le Golden Gate

Voici un superbe jouet à découvrir et à suivre car il s’agit de la version 0.4. Il y a même un mode multi-joueurs !

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San Francisco en J3 (depuis IE8)

A suivre !

Crowded Skies 2011

Je parle souvent d’IVAO sur ce blog et il y a de nombreux lecteurs qui ne font que “du réel”. La suite de ce message va leur paraître totalement iréelle.

Tous les ans, IVAO, ce réseau mondial de simulation de vol contrôlé, organise une tentative de record du nombre de connectés simultanés sur son réseau. Le pic a été de 1941 pilotes/contrôleurs virtuels. C’était durant la cinquième édition du Crowded Skies en 2008.

Ces tentatives concernent tous les pilotes et contrôleurs virtuels d’IVAO. Cette année, le “Crowded Skies VII” '(édition 7) aura lieu samedi 8 janvier. Et le pic attendu devrait se situer aux alentours de 21H00Z (22H00 heure de Paris).

Certaines zones du monde sont couvertes en “full staff” (contrôleurs aériens virtuels des positions sol/GND à Centre/Center). La liste est disponible sur le site de l’évènement (http://crowdedskies.ivao.aero/) mais on peut aussi tout simplement se connecter où bon nous semble et voler ou contrôler librement.

2.1.11

GNS 530 WAAS dans Flight Simulator

En réel, j’ai eut la chance de voler sur des machines avec des GNS (430/530). Les avions de PlusOne à San Diego sont très souvent équipés de ce GPS. Le summum étant le N487SP qui dispose d’un 530W couplé à un  auto-pilot Bendix KAP 140. C’est pas insurmontable, mais surtout dans un environnement hostile (pour un pilotaillon), il vaut mieux maîtriser les boutons avant de se retrouver sur la mini-route à 1500 ft verticale Los Angeles.

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Planche de bord du C172 N487SP de PlusOne à San Diego

Sans lire la doc. et avec un peu de jujotte, on arrive donc sans problème s’en servir : se voir sur une moving map, faire une direct, saisir un plan de vol et le suivre, disposer de relèvement, voir les alertes terrain et même les alertes trafics… etc…

Si c’est si simple pourquoi chercher à s’entrainer dans Flight Simulator ?

Lorsqu’il s’agit de le coupler avec un auto-pilote, les choses peuvent se compliquer un peu. Et souvent dans le cockpit, on entend, lorsqu’on est justement pas aguerri à l’engin : “il va continuer lui, tu crois ?” (en parlant du GNS), “Mais que fait-il pourquoi il engage pas la leg suivante ?”, “la vache, ké-ki-fai ?”.

Si en plus, on veut s’en servir pour pratiquer l’IFR, il vaut vraiment mieux être à l’aise pour laisser de la bande passante disponible pour gérer d’autres problèmes. Et des “autres problèmes”, je sais m’en créer, faites moi confiance (expérience réelle vécue).

OK… Et dans Flight Simulator alors ?

Fidèle à ma philosophie : rien de tel que Flight Simulator pour s’entrainer, manipuler, se tromper, recommencer et expérimenter. Et puis, il y a toujours des trucs à apprendre avec ces outils diaboliques.

Il n’existe réellement qu’une seule bonne réplique dans Flight Simulator : celle de Reality XP. J’avais déjà un de leur produit, un GNS 530 et 430 dans deux avions achetés (l’A36 et le Baron 58 de Dreamfleet). Mais il s’agissait d’une part d’une ancienne version de la gauge du Reality XP (pas WAAS notamment) et d’autre part, ces machines me sont étrangères car je n’ai jamais volé dessus en vrai.

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Je voulais disposer d’une reproduction à jour dans Flight Simulator que je pourrais mettre dans n’importe quelle machine sur FS. J’ai craqué et me suis offert la dernière version pour FS2004 du GNS530WAAS (€37.65/$49.95). Du coup, j’ai pu jouer avec, la mettre dans un C182RG de Carenado (cf. série de photos à la fin de ce message), mais avant cela, il a fallu trouver un AIRAC un peu plus à jour. Commençons à bidouiller. Mode Jacky=ON.

 

Mise à jour de l’AIRAC

Un des défaut (il faut bien en trouver un) de la solution Reality XP est que la gauge (= ce qu’on manipule dans Flight Simulator) s’appuie sur le Garmin Trainer/Simulator. Elle est donc dépendante de la database/airac/cycle du trainer. Garmin livre son trainer (version 3) avec le cycle 0711. Pas tout jeune.

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Version de 2007 de base dans le GNS 530

La base terrain de base est également, la version 2.00 (cf. capture précédente juste après l’install. du trainer GNS).

Mais tout n’est pas perdu ! Il existe un excellent message sur le forum SimForums qui permet de mettre - un peu - à jour la database du trainer (et donc de la gauge dans Flight Simulator) : http://www.simforums.com/forums/gns-waas-free-airac-update-sep09oct09_topic34067.html

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Pour obtenir, un cycle 0910 et une base terrain en v3.00, il suffit de prendre quatre fichiers du Garmin 600 Trainer pour remplacer ceux du GNS 530 Trainer !

Le simulateur/trainer du G600 se trouve gratuitement sur le site de Garmin à cette adresse : https://buy.garmin.com/shop/store/downloadsUpdates.jsp?product=010-0G600-00&cID=195&pID=6427

Une fois le trainer du G600 installé, les fichiers du G600 sont à prendre du dossier C:\Program Files\Garmin\G600 Trainer\Gdu\db\ :

  • basemap.bin
  • terrain.odb
  • terrain.tdb
  • worldwide.bin

Ces quatre fichiers remplacent leur équivalent du trainer du GNS du répertoire c:\Program Files\Garmin\GNS400W-500W Trainer\Trainer\

Malheureusement cette mise à jour n’amène pas les approches GNSS qui ont dû être publié plus tard

Application : “et vlan, sur IVAO, ça ne râte pas, j’ai oublié d’appuyer sur un bouton”

Expérience en simulation hier soir. Je suis à Toussus – comme par hasard – aligné en 07. Le METAR est pourri, on est bien assis devant son PC :

292100Z AUTO 09003KT 1000 R25/1800U FG OVC003 03/02 Q1020

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J’ai tout préparé pour faire comme en vrai. Je profite du contrôle sur IVAO de Toussus et de CDG. J’ai une clairance EVX1U, 3000 à l’initiale.

image imageCDG est ouvert, mais pas l’arrivée d’Orly et a fortiori Villacoublay que je n’ai jamais vu ouvert sur IVAO. Donc après l’envol, ce sera CDG. On se rapproche du réel, sans y être parfaitement. J’ai préparé ma fréquence après l’envol mes VOR en support, le départ est rentré dans le GNS.

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Dans la montée initiale, je quitte Toussus en remerciant chaudement le joueur à l’autre bout du micro, ce n’est pas souvent que ces petits terrains parisiens sont ouverts. Je bascule sur CDG… Il y a du monde sur la fréquence. Je suis toujours en manuel. L’autopilot n’est pas enclenché. Le HDG où il faut,  un vario positif, j’ai en buté la radiale 320 d’OL pour entamer mon virage vers la droite et suivre le départ assigné. J’enchainerais après avec RBT en NAV1. Mais CDG me vecteur directe EVX par la gauche “avec votre vitesse, ça devrait passer pour la P23”. A l’autre bout du micro, il y a donc du monde qui maîtrise, cela fait plaisir.

Ce vecteur direct n’est pas prévu. Et l’imprévu c’est exactement ce que je cherche à reproduire sur IVAO/Flight Simulator. Seul devant mon Garmin Trainer, la procédure se serait déroulé toute seule comme une grande. Là, il y a quelque chose qui change mes plans et il faut que je m’adapte. Allons-y.

image Je file dans le GNS, passe les points DO77I, OL, D202E, RBT, D17.5 puis sélectione le point EVX, et appuie sur DCT (Direct) – ENTER – ENTER. J’enclenche le PA, mode NAV + ALT… et rien ne se passe. Panique à bord. L’avion continue tout droit. La drôle de sensation de vivre un truc déjà vécu : ça ne se passe pas comme prévu, mais kékifai ? Pendant ce temps, l’avion continue à monter dans le noir, tout droit et sur la fréquence de CDG les échanges s’enchainent de plus belle. Ca rajoute du stress. C’est fait pour ça.

imageJe rescan mes instruments, puis après avoir regardé le mode du PA et toujours garder un oeil sur la vitesse, le cap et l’altitude… Je découvre le grand classique de l’erreur PA+GNS.

Le fameux CDI en mode VLOC (et pas en mode GPS) ! Le PA ne risquais pas de suivre quoique ce soit. Facile à identifier, assis tranquille devant son PC, mais dans la charge de la préparation, du “maniement” de la machine même si on reste sur Flight Simulator, cette étape indispensable m’avait échappée. J’appuie sur le bouton CDI, le GNS passe en mode GPS,le PA réagit, j’ai continuer un peu trop loin, tout droit, mais maintenant la directe vers le VOR d’Evreux est active.

Voilà une bonne leçon, une bonne chose à garder en tête. De l’expérience à 50$ renouvelable grauitement et qui ne demande qu’à être re-re-pratiquée.


Très courte finale piste 22 à Rouen. Le GNS n’apparait sur la capture (il est sur l’autre écran ;-) Mais il m’a aidé sur le HOLD à ROU et à déroulé l’ILS 22 (oui, je prend de mauvaise habitude ;-) Ca ne vous rappelle pas quelque chose avec la vidéo du C182 F-HBFC à Rouen ?


En route après être reparti de Rouen et en direction de Toussus dans un mélange d’omidirectionnel LGL puis d’un BOBSA4T tronqué pour filer vers ODRAN et enquiller une VOR DME TNO RWY 07L


A voir en vrai sur cette vidéo.


En finale 25R, après un POGO TSU depuis Pontoise

31.12.10

Meilleurs voeux 2011

Meilleur_Voeux_2011_Sedona_Short_Final_v1 Courte finale à Sedona

29.12.10

Coup d’oeil dans le rétro

Parce qu’il est bon de savoir regarder ce qui a été accompli, je cède, comme tous les ans, au traditionnel “coup d’œil dans le rétro” pour y retrouver deux Farwest, des tonnes de vols IFR et VFR, des cockpistons, des nouveaux terrains, de nouvelles rencontres…

L’occasion est trop belle de retrouver ces souvenirs que j’avais - pour certains - complètement oubliés comme cette vidéo de l’ILS 25 à Toussus en Cirrus avec le mélange FS/réel. Encore une année très aéro.

Je suis encore étonnée d’avoir pu faire autant de vols, d’avoir fait autant de rencontres et d’avoir emmagasiné autant d’expériences !

Merci à tous ceux qui ont contribué à remplir encore une fois cette année de merveilleux souvenirs aéronautiques.

 

Janvier studieux, C172RG Hispano à tous les étages

Janvier marque le début de mon apprentissage de la variante train rentrant/pas variable. J’effectue mes 1er vol dans mon nouvel aéroclub Hispano à Pontoise en compagnie de celui qui m’accompagnera pour le 1er Farwest de cette année.

Joël m’invite aussi à aller voir la tour Eiffel à la nuit tombée. Ces vols IFR sont une torture pour moi ;-) Du côté du virtuel, hiver aidant, je m’équipe d’un petit accessoire (le m-panel de VR-Insight) qui me permet de singer les manipulation de trains et du bloc radio.

 

Février : variante en poche

Déjà qualifié train rentrant/pas variable ! Ce fut rapide et un réel plaisir. Nous avions à l’époque dans l’idée de louer à San Diego un des deux C172RG pour les Farwest. L’histoire en décidera autrement.

Malgré la météo difficile de début d’année, nous étrennons notre variante par un petit Fly’in à Dijon :

Et du côté de Flight Simulator, je me distrait toujours autant dans la division polynésienne avec l’effet Bloom pour FS.

Mars rempli de Cirrus SR20 GTS

L’hiver est souvent l’occasion d’aller voler à Toussus, car l’aéroclub des Alcyons positionne souvent un DR400. J’en profite pour aller m’entrainer à Etampes. Bizarrement à ces moments, on tâte souvent du Cirrus. Etonnant, non ? Les vols s’enchainent de manière surprenante. J’ai encore le souvenir de cet ILS 25 à Toussus. C’est l’occasion pour Malik de se faire baptiser et moi d’en faire encore une vidéo (encore) ;-)

Je me lance aussi dans le montage virtuel/réel avec cette vidéo de l’ILS 25 depuis Flight Simulator à bord du Novembre-Alpha-Tango :

 

 

Avril : du Cessna à Pontoise et à… San Diego

La météo se prête toujours autant à faire le sac de sable en IFR. On se trouve ainsi à travers les nuages à Deauville à bord du Saratoga de Joël. Toujours avec Joël, juste avant la fermeture de l’espace aérien due à l’éruption du volcan islandais d'Eyjafjallajokull, nous embarquons en DR400 pour “garder” la main.

Je profite aussi du C172RG de Pontoise pour faire quelques vols et faire des touchers sur des terrains étonnement jamais pratiqués.

Enfin, avril marque le début officiel de Farwest’10. Je réserve à San Diego un C172 pour juillet. Voilà, le premier pas officiel vers le 1er Farwest de 2010.

 

Mai

En mai, ce blog passe le cap des 200.000 visites depuis 2004 (en décembre nous en sommes à 250.000). Encore un grand merci à tous les lecteurs ! Mai et les beaux jours sont aussi l’occasion de commencer l’organisation du Fly’in Pilote-Virtuel et IVAO et de rechercher des équipages de France entière. Les retours seront encore plus important qu’espérés.

Du côté de la vidéo, je m’essaie aussi à un exercice de style en croisant une belle machine au Touquet (où nous étions aller en avion avec Georges).

 

Juin : saison des Fly’in Pilote-Virtuel-IVAO

Comme tous les ans… et avec encore plus d’avion, nous nous retrouvons à Moulins pour le Fly’in Pilote-Virtuel – IVAO.

Je profite aussi l’offre d’Air France pour tester l’A380 sur le vol Paris-Londres à 80 euros aller-retour.

Enfin, juillet arrivant à grand pas, je prépare le programme du 1er Farwest de l’année avec mon ami Bertrand.

 

Juillet : un mois à faire des Farwest, mais pas que ;-)

Le mois de Juillet n’aurait pu être que rempli du 1er Farwest et pourtant aéronautiquement parlant, j’ai participé à un excellent Aerodej' à La Ferte et résumé dans un message mes expériences de cockpiston.

Pour le reste, c’est un peu comme d’hab (air blasé ;-) : San Diego, Monument Valley, Page, Bryce Canyon… etc… pffff. C’est sur-fait ces Farwest. Fin de l’humour. Je n’arrive vraiment pas à m’en remettre.

Cliquez ici pour voir tous les récits de Farwest’10v1. Juste avant de partir, je passe chez Marv’s Golden et achète ma GoPro qui ne me lâchera plus. Les premières vidéos et photos avec la GoPro commencent à remplir le blog.

Août : Farwest deuxième !

A peine rentré et surtout absolument pas remis du 1er Farwest’10, je reviens en France bosser… puis repart en famille pour le second Farwest (cliquez ici pour voir tous les récits de Farwest’10v2).

Quand je pense qu’il me reste TOUTES les vidéos de ce Farwest à monter. Je n’ai à l’heure de rédaction de ce message, même pas terminé les vidéos du 1er Farwest’10.

Et de retour, nous revoilà encore avec la GoPro, mais cette fois-ci dans un DR400.

 

Septembre : phraséo US et Piper Cub J3

Je ne me remet pas des Farwest. Je passe en boucle les enregistrements audio de la tour de Montgomery et avec l’aide de Colibris et forumers de Pilote-Virtuel/IVAO, réalise une transcription complète d’une séance totalement irréaliste.

En septembre, je suis enfin baptisé en Piper Cub à mon aéroclub des Alcyons.

Et encore et encore des cockpistons qui font vibrer…

 

Octobre rime avec Rascol

C’est la saison des Rascol ? Tout d’abord celui des Alcyons…

… pour fêter l’arrivée du Piper J3 :

Puis celui de St-André pour France DC3.

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Je trouve tout de même le temps de voler en DR400 dans une expérience enrichissante de vol on-top que je ne souhaite pas retenter.

Les Farwest sont derrières moi. Il me reste toutes les vidéos à monter, cela va m’occuper cet hiver ;-)

Novembre… fin de saison

Le froid, les mauvaises météos et le manque de temps reviennent. Je me rabat vers le montage de la cinquième vidéos de Farwest’10v1. Le trio infernal (Georges, Patrick et votre serviteur) trouvons tout de même le moyen d’aller poser nos roues à Caen.

Décembre

Les vols se raréfient. Je me rabat sur mon Flight Simulator et joue les Jacky en m’équipant d’un SSD. La GoPro est toujours dans ma poche. Je la dégaine à la pause d’une réunion pour immortaliser cet A340 d’Air Tahiti Nui à… Lille dans la neige.

 

24.12.10

Bonnes fêtes à tous les lecteurs de ce blog

Je vous souhaite à tous, tout plein de vols virtuels et/ou réels !

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Vous allez créer très bientôt 250 000 visites uniques* sur ce blog depuis l’installation du compteur en juillet 2004, il y a plus de 6 ans.

Merci pour votre support, votre fidélité, vos commentaires et les dizaines de messages d’encouragement à continuer.

* une ou plusieurs page(s) visualisées par une adresse IP avec moins de 30 minutes entre deux pages lues.

20.12.10

Air Tahiti Nui TN008 dérouté de De Gaulle à Lille

Vue ce matin à l’aéroport de Lille-Lesquin (LFQQ). Un airbus A340 d’Air Tahiti Nui atterri en 26, remonte puis dégage par T4. Le vol TN008 en provenance de Tahiti, après une escale à Los Angeles, termine son déroutement à Lille. Il est 8h30 du matin et visiblement les passagers en provenance de Tahiti vont avoir un p’tit coup de froid en sortant. Vive les déroutements matinaux de CDG !

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Le Tahiti Nui, auquel on remettra les flammes plus tard, restera  à sa porte, alors que les RyanAir continuent leur ballet.

19.12.10

Episode 6 : “On est le matin et on est prêt au point d’arrêt 32 droite”

Il faisait une meilleure température que ce matin à Paris. Une vingtaine de minutes de vol, en juillet dernier à bord d'un Cessna 172 pour rallier Oakland, de l'autre côté de la baie de San Francisco. Les pilotaillons avaient fait un stop/déroutement pour attendre que la brume se lève sur la baie, puis en restant sous la classe Bravo de SF, nous avions rallié finalement notre destination.

Le montage des vidéos de Farwest 2010 premier du nom, avance doucement.

Vous pouvez travailler votre phraséo. VFR US avec l'enregistrement des communications radios. Et peut-être ne pas confondre, comme nous, "NAVAJO" avec un point sur la carte au lieu d'un type d'appareil ;-)

A voir aussi sur Vimeo : http://www.vimeo.com/17974920

Le récit de cet épisode de Farwest est à lire ici : http://20-100-video.blogspot.com/2010/07/il-est-en-short-et-je-ne-le-vois-pas.html

15.12.10

Encore un peu de temps pour parfaire son allemand

Pour ceux qui ne suivent pas les aventures de Gerrit, ceux qui veulent progresser en allemand, ceux qui planifient un voyage à Hamburg, ceux qui restent admiratif de l’ingéniosité de certains à rester des petits enfants… l’épisode 22 vient d’être publié des aventures de cette maquette géante, incroyable et de plus en plus surprenante au fil des mois.

Pour ceux qui auraient râté le début, voir ce billet de septembre : Sortie à Hamburg à prévoir pour voir ce truc de fou !

6.12.10

Accélérer les chargements de Flight Simulator 2004

Le démarrage de mon Flight Simulator 2004 prenant de loooongues minutes, je me suis décidé à tenter l’expérience du disque dur SSD. ce message se veut être un retour d’expérience d’un utilisateur lambda.

PS : Si vous ignorez ce qu’est un disque dur SSD… Ce n’est pas grâââââve : Wikipédia est votre ami.

 

Préambule

Attention : l’objectif de l’installation du SSD est bien d’accélérer le chargement de Flight Simulator et des lourdes scènes photo-réalistes qui enchantent mes vols virtuels. Il n’est nullement question d’augmenter le sacro-saint “nombre-d’images-par-seconde”, objectif de la quête du Graal de Jacky-le-simmer, en référence à Jacky-à-la-R12 sur son parking le dimanche matin.

Deuxième mise en garde : je ne suis pas un benchmarker conscienceux. J’ai bien sûr oublié de chronométrer tous les temps de chargements “avant” et “après”. Ce post constitue donc plutôt un retour d’expérience averti plutôt qu’un comparatif rempli de tableaux avec tout plein de chiffres dedans.

 

Comment en est-on arrivé là ?

Par curiosité, j’ai regardé tout ce que faisait le process FS9.EXE au démarrage avec l’utilitaire ProcMon. Ce n’est pas beau à voir. Le plus effarant est le parcours exhaustif de tous les appareils installés dans le répertoire AIRCRAFT. Un à un, le process les balaie. Et avec la centaine de MTL d’IVAO et des dizaines (que dis-je… centaine !) d’avions AI (en fait 5.6 Go glané à droite et à gauche), j’ai le temps de voir l’écran d’accueil. Long… Très long… En complément, on peut dire sur mon installation et ma façon d’utiliser FS :

  • Je lance souvent FS dans un moment compulsif en voyant des ATC sur IVAO connectés,
  • J’ai un FS rempli de scènes de FranceVFR (scènes photo-réalistes) consommatrices de gros fichiers de textures
  • J’utilise énormément le TrackIR et tourne donc la tête souvent dans l’avion entrainant un chargement d’autant important des dites scènes précédemment décrites.
  • Enfin, je change parfois d’avis me positionnant sur un aéroport, puis rechargeant le tout à autre endroit au gré des amis en ligne et des contrôleurs IVAO connectés.

Tout cela, m’a fait me pencher sur un moyen d’accélérer les chargements de tout le barzingue. Avant tout cela, il va sans dire que je défragmente à tour de bras (et avec des outils divers et variés) et que mon Flight Simulator est sur un disque dur isolé… et j’ai un troisième disque dur pour les scènes bien sûr. J’ai aussi bien sûr masqué (BBQHide truc muche ou son équivalent pour les MTL d’IVAO) les avions de l’AI et constaté que FS démarre plus vite si le répertoire AIRCRAFT est moins remplie de choses inutiles. Mais parfois l’inutile est indispensable. Les voix du simmer sont impénétrables.

Passons donc au SSD

J’ai donc acheté un SSD OCZ Vertex 2 de 60 Go connecté à une carte ASUA U3S6 (Sata-III et USB3). Pourquoi avoir acheté une Asus U3S6 ? Tout simplement, parce le firmware de ma carte contrôleur ne supportait pas pleinement les SSD. Alors quitte à acheter un contrôleur, autant acheter quelque chose qui pourrait durer longtemps. Ca, c'est pour le SATA. Enfin cette carte disposant d'un connecteur USB3, je projette d'acheter un disque externe en USB3 (notamment pour mes besoins de montage de vidéo).

Pourquoi un OCZ Vertex machin truc et pas un bidule Convert Turbo III ? Et pourquoi pas. Les sources d’informations sur Internet et les comparatifs sont nombreux et il m’a semblé qu’au moment de l’achat, ce SSD en particulier était celui qui me convenait le mieux (disponible dans le magasin d’à côté… déjà) et disposait surtout d’un bon rapport qualité/prix/performance. On peut toujours trouver mieux, souvent plus cher… etc…

Petit retour d’expérience

Je me permet de faire ce tout premier retour d'expérience, sans prétention et à base de "sensation" (je n'ai pas de chronomètre sous la main, ni l'âme d'un benchmarker ;-)

1er test : Windows sur SSD

Mon 1er test a été d'installer un Windows Seven tout propre, avec dessus quelques logiciels. Ca boot plus vite, c'est plus rapide, mais *de mon point de vue* n'en vaut pas la chandelle, surtout par rapport à ma config. de disques durs existantes et au prix du Go sur SSD. J'ai bien sûr suivi les directives qui trainent sur Internet (AHCI, Defrag OFF, Indexation OFF... etc...). Mais mon objectif premier était d'accélérer le démarrage de mon Flight Simulator 2004 et pas mon Windows Seven auquel je n'avais pas grand chose à reprocher.

 

2ème test : FS2004 sur SSD

2ème test : j'ai déplacé tout mon FS2004, auparavant sur un disque dur isolé (WD, SATA-II, 7200 rpm, 500 Go) sur le SSD. A l'exception, de quelques scènes qui ne tenaient pas sur le SSD. J'avais auparavant mon FS dans un dossier et les scènes dans un autre (et un autre disque dur).

Voici mes premières conclusions :

  • 60 Go est trop petit pour y abriter tout mon Flight Simulator (scènes + appareils) : j'avais qu'à faire attention ;-) C'est un problème d'interface chaise - clavier ;-)
  • Le boot de FS2004 est plus rapide, mais ce n'est pas non plus la panacée. Il faut dire aussi que j'ai beaucoup d'avions AI + les MTL d'IVAO et donc le boot parcourant exhaustivement tout le répertoire AIRCRAFT prend du temps (que les avions soient hidden avec BBQ-machin ou l'utilitaire livré avec IVAP). Moins de temps avec le SSD, mais du temps tout de même. A ce sujet, je me permet une petite appartée, n'hésitez à consulter ce post pour les interrogations à propos du boot/démarrage de FS2004 :  http://forum.avsim.net/topic/275173-lon … s2004+boot
    Pour cette partie "démarrage de FS2004", je conclus avec ce que j'échangeais avec Stéphane S. il y a peu :

En résumé, ce qui est le plus impactant :
Jusqu'à l'écran d'accueil (le boot initial) : le nombre d'avion dans le répertoire Aircraft (qu'il soit hidden ou pas avec BBQHide ou l'utilitaire d'IVAP)
De l'écran d'accueil au vol lui-même : taille (nombre de fichiers) et nombre de scènes installés

  • Le plus flagrant et intéressant reste la réactivité de Flight Simulator une fois un vol chargé. On a visiblement l'impression que les textures se chargent vite, surtout lorsqu'on en consomme beaucoup comme moi (même en FS9) en cockpit virtuel et avec le TrackIR. Donc, ici le retour est plutôt positif, le confort étant au rendez-vous.
  • Le chargement d'une scène (notamment) photoréaliste à partir de l'écran de chargement d'un vol est lui-aussi vraiment plus rapide. J'avais comme scène de référence, ma scène de St-Cyr et tout ce qui se trouve sur mon FS autour de Paris en provenance de FranceVFR (BasePack, Autogen Pack, VFR Pack et LFPZ). La barre de chargement prenait longggggtemps à se charger. Là encore, la réactivité et la vitesse de chargement est remarquable. Ce n'est bien sûr pas instantané, mais c'est confortable. Je n'ai plus le temps de me lever et d'aller prendre un café ;-)

Voilà pour les premiers retours. Il reste à régler et observer tout cela.
PS : la configuration de mon PC est décrite sur ce message.

3.12.10

Faut bien se réchauffer

… et entretenir un peu ce qu’on a appris pour le train rentrant/pas variable. Alors on lance FS2004, un C182RG et on va s’occuper sur IVAO

fs9 2010-11-30 21-52-20-77fs9 2010-11-30 22-12-57-78fs9 2010-11-30 22-01-43-97fs9 2010-11-30 22-02-07-96fs9 2010-11-30 22-40-07-35fs9 2010-11-30 22-40-18-95

2.12.10

Une GoPro sur un sauvetage en montagne

Si vous avez le vertige comme moi, prenez vos précautions. Le secouriste est hélitreuillé sur la paroi (vertigineuse dans le Banff National Park), médicalise le blessé, puis de nouveau est hélitreuillé à l’élingue.

Le tout filmé par une GoPro fixée sur le casque du secouriste.

Vidéos Breitling

Breitling vient de publier sur son compte Youtube de courtes vidéos rappelant son attachement aux choses qui volent.

 

 

 

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